Témoignage : Découvrez le cas d’une ESN

Témoignage : Découvrez le cas d’une ESN

Logiciel de recouvrement : Comment faire face à une augmentation des délais de paiement ?

Témoignage client – 24/07/2019

Ce témoignage illustre la réussite de l’intégration de Cash & Credit au sein du pôle recouvrement d’un client. Il s’agit d’une Entreprise de Services du Numérique (ESN) forte d’un effectif de 2800 personnes, réalisant un chiffre d’affaires annuel de 391,5M€.

L’intégration du logiciel de recouvrement et de credit management Cash & Credit auprès du client a été réalisée par notre partenaire intégrateur Grant Thornton, et plus précisément par l’équipe de Carl Civadiée, Associé – Directeur National – BFR & Cash Management, qui nous présente ce projet.

CARL CIVADIEE

Directeur National
BFR & Cash Management

Quelle était votre problématique de départ ?

« Faisant face à une augmentation des échus, l’entreprise nous a consulté afin de trouver une solution qui lui permettrait de réduire la tension engendrée sur son niveau de trésorerie.

En tant que conseil, nous étions à la recherche d’un outil complet et ajustable au client afin de faire monter en compétences les collaborateurs de l’équipe recouvrement, dont la fonction souffrait d’une faible professionnalisation au métier du recouvrement.

Enfin, une diminution de l’effectif étant prévue à horizon 3 mois, il fallait donc impérativement avoir la faculté d’absorber le volume en ayant une meilleure productivité et performance. »

« Cash & Credit permet d’avoir des retombées immédiates : les promesses de règlements et le cash arrivent rapidement et la productivité est instantanément améliorée. »

Carl Civadiée – Directeur BFR & Cash Management

Quelles solution a été mise en place pour réduire vos délais de paiement et assurer le recouvrement de vos créances ?

« Nous avons dans un premier temps mis en place un outil « fait maison », pour habituer les chargés de recouvrement à fonctionner avec un planning de travail (quotidien, hebdomadaire et mensuel). Puis, au vu de la taille de l’équipe recouvrement, la taille de l’entreprise et des volumétries, il est devenu nécessaire d’avoir un outil qui permettait de gagner en productivité.

Nous nous sommes ainsi tournés vers un logiciel d’automatisation du processus de recouvrement, qui permettait de répondre aux principales problématiques : amélioration de la performance, professionnalisation des équipes et amélioration de la productivité au regard de l’effectif. »

Quels sont les résultats obtenus après la mise en place du logiciel de recouvrement de créances Cash & Credit ?

« Le logiciel de recouvrement a rapidement permis de générer des résultats très satisfaisants :

  • Améliorer l’appropriation des portefeuilles des collaborateurs.
  • Gérer les automatismes et workflows internes nécessaires à la gestion du poste client.
  • Mettre en œuvre plus facilement les stratégies de relance.
  • Monitorer la productivité de chaque collaborateur.
  • Gagner en productivité afin d’absorber la réduction d’effectif
  • Concrètement, nous avons pu constater une évolution des indicateurs suivants :

Quels ont été les facteurs clés de succès de la mise en place de ce logiciel de recouvrement de créances et de credit management ?

« Du point de vue de l’accompagnement, cette réussite a été possible tout d’abord grâce à un cahier des charges au sein duquel le client a très précisément formulé son besoin, ce qui a permis d’ajuster la plateforme dans les moindres détails.

L’accompagnement lors de la mise en place du logiciel de recouvrement est aussi primordial, à la fois pour le paramétrage technique et le paramétrage fonctionnel. La qualité du paramétrage technique réalisé par URIOS est selon nous suffisamment éprouvée, tandis que le paramétrage fonctionnel fait par nos équipes en interface avec les futurs utilisateurs assure un temps contenu pour le paramétrage et facilite la prise en main.

Du point de vue du logiciel de recouvrement, c’est grâce à l’aspect particulièrement intuitif de la plateforme que ce projet est une réussite. Cash & Credit est basé sur le métier Recouvrement, plus généralement du Credit Management et conçu de façon optimale pour répondre aux besoins principaux des clients ainsi qu’aux « must have », en étant un logiciel de recouvrement et de credit management qui va à l’essentiel.

Pour maximiser le gain de productivité, il fallait trouver un logiciel de recouvrement de créances qui s’adapte aux processus de l’entreprise et non l’inverse. C’est un facteur clé de succès car la majorité des logiciels de recouvrement du marché imposent leurs limites aux clients sous couvert d’une « agilité » en réalité très limitée. Cash & Credit n’impose rien au client, mais prend en compte les spécificités des processus en place et s’y adapte.

Au final, la facilité et la rapidité de prise en main du logiciel de recouvrement Cash & Credit aura été d’une qualité très surprenante. Quelques jours suffisent pour être totalement à l’aise avec le logiciel, ce qui permet d’avoir des retombées immédiates : les promesses de règlements et le cash arrivent rapidement et la productivité est instantanément améliorée. »

Accélérez l’entrée de cash et favorisez la productivité de votre équipe recouvrement avec Cash & Credit

Cash & Credit permet de digitaliser le recouvrement et le Credit Management, avec deux grands avantages :

  • l’automatisation de scénarios de relance de factures personnalisés, associant des leviers préventifs et curatifs pour éliminer ou réduire les retards de paiements ;
  • un gain de temps considérable pour les collaborateurs.

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Cas client : Comment mettre en place une stratégie de crédit-client « 0 risque »

Cas client : Comment mettre en place une stratégie de crédit-client « 0 risque »

Etude de solvabilité : Comment mettre en place une stratégie de crédit-client « 0 risque »

Cas client – 03/05/2019

Le groupe est un des leaders mondiaux de la construction et de la maintenance des infrastructures de transport.

La stratégie financière mise en place avec URIOS est celle du 0 risque pour les encours clients accordés. Pour cela nous :

  • Sécurisons les encours accordés sur certains clients et remédions aux refus de garantie des assurances crédit afin de développer l’activité sans risque financier.
  • Evaluons la santé financière des fournisseurs et sous-traitants en temps réel pour anticiper les risques de défaillance, la rupture de la chaîne d’approvisionnement et l’activité de construction.

Actions mises en place

1. Pour les clients

  • Etude de solvabilité : l’analyste en charge du dossier accompli un travail d’investigation poussé afin de recueillir des données fiables et pertinentes. L’objectif étant d’évaluer les risques de défaillance des clients étudiés ainsi que leur solvabilité. Pour vérifier la véracité des informations, l’analyste mène des interviews auprès de l’écosystème de l’entreprise elle-même ainsi que de ses fournisseurs et clients.
  • Le rapport final présente une analyse de la situation financière (bilan, compte de résultat…), commerciale, juridique et structurelle. Un score de solvabilité et une limite de crédit synthétise le rapport.
  • Etude Garanties : en fonction du score de solvabilité, URIOS garantit le renseignement d’encours avec son partenaire AIG et indemnise en cas de défaillance du client.

2. Pour les fournisseurs

  • Etude de solvabilité : se concluant avec un avis sur la pérennité et la capacité technique des fournisseurs.

Résultats

61%

des clients n’ayant pas d’assurances crédit bénéficient d’une étude garantie

+ Sécurisation de la chaîne de production : sélection de partenaires fiables et pérennes.

+ Développement et sécurisation du chiffre d’affaires : 61% des clients n’ayant pas d’assurances crédit bénéficient d’une étude garantie URIOS en partenariat avec AIG.

+ Amélioration et fidélisation de la relation client : ces derniers se sentent soutenu par leur fournisseur qui leur accorde un délai de règlement suite à la mise en œuvre d’une étude garantie.

Les Etudes de Solvabilité pour sécuriser le risque client

Bénéficier de l’analyse de la solvabilité et de la pérennité de vos partenaires la plus pointue du marché fondée sur le recoupement de plusieurs sources et d’interviews.

EN SAVOIR PLUS

Une facture suffit-elle pour se faire payer ?

Une facture suffit-elle pour se faire payer ?

Une facture suffit-elle pour se faire payer ?

Article 04/06/2019

Comment prouver que ma facture doit être honorée ? De la relance jusqu’aux poursuites judiciaires, le recouvrement de créances suit une logique de graduation particulière. Quand la relance et la phase amiable ne fonctionnent pas, le créancier peut faire appel à la justice !

Prouver, c’est démontrer la réalité d’un droit que l’on revendique.
(Par exemple, le droit d’être payé)

Pascal POUPON
Juriste, Expert en Recouvrement chez URIOS

Sur qui pèse la charge de la preuve et comment prouver que la facture doit être honorée ?

C’est ce que rappelle l’article 1353 du code civil qui prévoit : « celui qui réclame l’exécution d’une obligation doit la prouver, de même que celui qui s’en prétend libéré ».

Dans ce cas précis, c’est au créancier qu’il appartient de démontrer la réalité de sa créance, facture, qui doit être :

  • Certaine: fondée en son principe et incontestable,
  • Liquide: évaluée et déterminée,
  • Exigible: arrivée à échéance.

Apporter la preuve qu’une facture doit être payée

A. Un principe : ne pas se constituer de preuve à soi-même

Sur quoi doit porter la preuve et comment doit-elle être rapportée ?

L’article 1363 du code civil consacre la règle selon laquelle « nul ne peut se constituer de titre à soi-même ».

En effet les éléments que la partie tenue de faire la preuve s’est constitués à elle- même sont suspects. Ils sont par essence dépourvus de toute objectivité et donc d’une sincérité incertaine. L’exemple type est la facture impayée seule, produite par le créancier qui n’a aucune valeur probante quant au principe de la créance. Il s’agit simplement d’une pièce comptable démontrant qu’une créance est exigible. La facture doit être complétée par un document émanant de celui qui s’est engagé à payer :

  • Bon de commande,
  • Devis signé,
  • Contrat signé prouvant la relation contractuelle.

Mais l’obligation de payer n’est à ce stade pas encore prouvée notamment dans certains domaines tels que la vente de marchandises. Le créancier doit être à même de produire un bon de livraison signé par son débiteur et sans réserve, aucune observation concernant la qualité des marchandises : pas de casse ou de produits détériorés.

B. La spécificité de la preuve en matière civile (B to C)

L’article 1358 du code civil pose le principe selon lequel la preuve peut être apportée par tout moyen donc par écrit, témoignage, aveu, serment, présomption… Cela sera souvent le cas des événements dont les conséquences juridiques ne sont jamais voulues, par exemple, un accident de voiture ou une inondation (faits juridiques).

Dans le cas des actes juridiques qui sont des comportements volontaires avec la volonté de modifier une situation juridique, la constitution de la preuve est différente.

L’article 1359 alinéa 1er du code civil prévoit ainsi que la preuve d’un acte juridique portant sur une somme ou une valeur excédant un montant fixé par décret (actuellement 1 500 €) doit être apportée par écrit sous signature privée (acte rédigé par les parties elles- mêmes) ou authentique (acte rédigé par un officier public, ex : un notaire).

Toutefois l’article 1359 alinéa 2 du code civil précise qu’un écrit est également nécessaire pour prouver outre ou contre un écrit (si la partie inverse l’invoque), même si la somme ou la valeur n’excède pas 1 500 €.

En résumé, mieux vaut toujours avoir un écrit disponible pour se prémunir contre les mauvais payeurs.

Cet écrit peut d’ailleurs être un écrit papier ou électronique, à condition que puisse être dûment identifiée la personne dont il émane et qu’il soit établi et conservé dans des conditions de nature à en garantir l’intégrité.

C. La spécificité de la preuve en matière commerciale (B to B)

L’article L 110-3 du code de commerce prévoit qu’« à l’égard des commerçants, les actes de commerce peuvent se prouver par tous moyens à moins qu’il n’en soit autrement disposé par la loi».

Deux conditions cumulatives sont à réunir :

  1. La nature commerciale de l’acte
  2. La qualité de commerçant des parties.

La matière commerciale est en effet traditionnellement dominée par le principe de la liberté de la preuve (tous les moyens sont admissibles). C’est le besoin de rapidité des activités commerciales qui implique qu’elles ne soient pas alourdies et freinées par des contraintes de preuve. Ainsi les usages dans tel ou tel domaine d’activité expliquent souvent qu’un bon de commande par écrit ne soit pas établi. Ces usages peuvent être recensés par écrit et produit devant le tribunal. Le risque n’est pas complètement nul. Toutefois, les juges du tribunal de commerce, étant eux-mêmes des commerçants et souvent au courant des usages pratiqués, seront à même d’apprécier la situation.

En conclusion, pour le titulaire d’un droit de créance, tout se passera comme si celui-ci n’existait pas lorsqu’il est contesté et qu’il ne parvient pas à le prouver.

Il appartient donc aux créanciers d’être toujours à même de pouvoir produire les éléments leur permettant de démontrer leurs droits de créance, à la lumière des principes rappelés ci-dessus.

Recouvrement Amiable & Contentieux

Mettre en œuvre une stratégie de recouvrement personnalisée en fonction du montant de vos créances et de la solvabilité de vos débiteurs en France et à l’étranger.

EN SAVOIR PLUS

Mettre en place une relance préventive des factures

Mettre en place une relance préventive des factures

Recouvrement : Mettre en place une stratégie de relance de factures pour  accélérer l’entrée de cash

Cas client le 03/05/2019

Spécialiste dans les travaux d’installation d’équipements thermiques et de climatisation pour les professionnels et les particuliers, l’entreprise est engagée dans une stratégie de proximité et de satisfaction client.

L’entreprise a fait appelle  aux services d’URIOS dans l’objectif :  

  • d’accélérer l’entrée de cash.
  • de minimiser les provisions de fin d’exercice pour présenter de bons bilans.
  • de faciliter le remboursement de la dette (la société étant sous LBO).

Actions mises en place

1. Mise en place d’une équipe dédiée de 8 à 10 collaborateurs qui gèrent le poste client du groupe, au quotidien, depuis 2014. Ses missions pour réduire le DSO :

  • Nettoyage de balance âgée : relance et encaissement des créances impayées, analyse des litiges pour anticipation des risques. Ce nettoyage permet d’avoir une comptabilité à jour avec un minimum de retards ou d’impayés.
  • Recouvrement amiable et judiciaire afin d’assurer l’encaissement des créances tout en préservant la relation client. La stratégie de recouvrement est adaptée en fonction de la typologie de chaque débiteur et de son niveau de solvabilité.

2. Dans une autre entité du groupe, un module préventif est associé au processus de recouvrement pour décupler son efficacité :

  • Relance préventive de chaque client : le chargé de recouvrement vérifie que les factures ont été réceptionnées par les débiteurs, qu’elles sont conformes et qu’aucun litige n’est associé. L’objectif est d’obtenir une promesse de date de paiement à échéance. Si une erreur est présente sur les factures (numéro de commande manquant, non réception de la facture, …), le chargé de recouvrement effectue la modification et renvoie la facture directement aux débiteurs.

Résultats

19%

des fatures sont payées avant la date d’échánce

34%

des clients payent entre 1 à 30 jours

+ Réduction des frais de procédures de recouvrement amiable ou judiciaire.

+ Amélioration de la relation client. Le client se sent écouté et peut exposer le problème qui l’empêche de régler sa facture à temps. Une zone d’accord est trouvée, ce qui permet de nouer un lien de confiance entre les deux parties.

+ Qualification et mise à jour régulière de l’intégralité de la base de données du groupe (contact, adresse mail, numéro de téléphone, conditions et délais de paiement…).

Prévenir les retards de paiement de vos clients

Avec la crise, la trésorerie des entreprises reste tendue malgré les aides de l’état. Mais cela sera encore plus compliqué lorsque les dispositifs de soutien seront débranchés et que les remboursements des PGE seront enclenchés.

Pour éviter de se retrouver dans une situation délicate, nous vous recommandons de mettre en place des mesures visant à réduire au maximum les retards de paiement

Les entreprises vont-elles résister aux défaillances ?

Les entreprises vont-elles résister aux défaillances ?

Les entreprises vont-elles résister aux défaillances ?

Article – 18/04/2019

Les défaillances d’entreprise représentent les sociétés concernées par les 3 procédures suivantes : redressement judiciaire, liquidation judiciaire ou procédure de sauvegarde.

Après deux ans de recul, le dessein pour 2018 était de faire tomber le mur des 50.000 procédures. Un objectif envisageable avec un premier trimestre au plus bas depuis 10 ans (-9%)1. Néanmoins, l’amélioration freine au deuxième trimestre pour complétement chuter au dernier trimestre avec 4.2%1 de faillite en plus qu’en 2017.

Le secteur le plus touché est celui du bâtiment avec une hausse de 2.2%1 des défaillances au dernier trimestre. Cela s’explique par une chute de l’activité due spécialement à la diminution des permis de construire octroyés en 2018, et qui suscite de fortes inquiétudes pour 2019.

Défaillances d’entreprises, les tendances pour 2019

Les économistes prévoient une hausse des défaillances comprise entre 0.8% à 2%2. Ce qui porterait les défaillances d’entreprise approximativement au nombre de 56.000.

Néanmoins, les entreprises résistent finalement sur le premier semestre avec une baisse des défaillances de 1.1% par rapport à 2018. Mais, les signaux d’alerte se multiplient3 : resserrement des crédits accordés, envolée du nombre de dossiers déposés au Ciri (Comité interministériel de restructuration industrielle) … Tout cela laisse envisager de fortes difficultés pour la seconde partie de l’année.

La décélération de l’activité économique fin 2018 exacerbe la vulnérabilité des entreprises. Les trésoreries subissent de fortes tensions et continuent de se dégrader depuis le début de l’année (31% des trésoriers jugent que la trésorerie est moins bonne que prévue selon l’étude Rexecode) à la suite de l’atténuation de la consommation et de l’investissement des ménages, à la contraction des marges et à la détérioration des délais de paiement. Les risques d’impayés s’accentuent.

« Face à cette nouvelle instabilité qui se dessine, les entreprises doivent porter une forte attention à la santé financière de l’ensemble de leurs partenaires commerciaux afin d’adapter leur politique de crédit »

Quelles sont les conséquences des défaillances d’entreprises ?

  • Les PME et les ETI se retrouvent en situation critique. Elles sont prises en étau face aux impayés clients et aux conditions de paiement plus strictes de leurs fournisseurs, ce qui fragilise les trésoreries.
    Selon l’étude GoCardless, 42% des dirigeants de PME piochent dans leurs économies afin de compenser les retards.
  • La hausse de la confidentialité des bilans devrait se poursuivre. Les entreprises en difficultés éviteront de divulguer leurs comptes afin de ne pas mettre en lumière leurs performances financières en retrait.
  • Le niveau de dettes des entreprises n’est pas près de diminuer (il représentait 73.3%1 du PIB en 2018). Les entreprises risquent d’être plus vulnérables en cas de hausse des taux d’intérêts.

[1] Altares
[2] Banque de France
[3] Les Echos Capital Finance article datant du 15 avril 2019 « Restructurations : faut-il craindre un effet domino ? »

Les Etudes Garanties pour couvrir le risque de défaillance de vos partenaires

Vous souhaitez couvrir le risque de défaillance d’un partenaire commercial et/ou êtes à la recherche d’une alternative au refus de votre assurance-crédit ? Grâce à la qualité de son renseignement financier, URIOS peut vous aider à sécuriser votre chiffre d’affaire face à des partenaires à risque.

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