Retrouvez URIOS sur la 2ème édition Finance Révolution

Retrouvez URIOS sur la 2ème édition Finance Révolution

2ème édition Finance Révolution

Evénement – 15/03/2022

La deuxième édition de Finance Révolution – Cap sur la transformation aura lieu le 23 et 24 mars 2022 au Pré Catelan.

Que signifie transformer les organisations pour la fonction Finance ?

Pour le savoir participez à l’après-midi de congrès, ouvert à l’ensemble de la fonction financière, suivi d’un dîner carrousel (réservé aux DAF et CFO). Puis assistez le lendemain à une présentation 100 % digitale et très rythmée d’éclairages et analyses.

Sur l’évènement, vous aurez la possibilité d’écouter plusieurs Keynotes inspirantes dont notamment :

  • Emmanuelle Jospeh Dailly: anthropologue, consultante, formatrice et auteure de « La Stratégie du poulpe »
  • Chritophe Thibierge: professeur ESCP, associé de l’institut des sciences de la Personnalité.

Finance Innovation et URIOS annoncent leur partenariat

Finance Innovation et URIOS annoncent leur partenariat

Finance Innovation et URIOS annoncent leur partenariat

Partenariat – 03/02/2022

Finance Innovation et URIOS s’associent pour accompagner et développer la finance de demain.

Fort de valeurs communes URIOS – cabinet conseil spécialisé en BFR, et Finance innovation – pôle de compétitivité mondial, souhaitent mettre leurs ressources communes au développement de l’écosystème financier.

Qui est Finance Innovation ?

Pôle de compétitivité mondial créé par l’Etat en 2007, FINANCE INNOVATION représente une large communauté de 600 acteurs de l’innovation financière – Fintechs, laboratoires de recherche, petites, moyennes et grandes entreprises, centres d’excellence académiques et investisseurs.

En s’appuyant sur cette exceptionnelle concentration d’acteurs, il labellise les projets innovants les plus prometteurs pour la transformation digitale et le futur de l’industrie financière française et accélère le déploiement des projets portés par ses membres en France et partout dans le monde.

Pourquoi un partenariat entre URIOS et Finance Innovation

URIOS souhaitait faire partie d’un univers permettant d’échanger et de transmettre son expertise au sein du secteur de la finance afin de le faire évoluer avec des solutions disruptives et innovantes. FINANCE INNOVATION étant le référent français de l’accompagnement des startup financières, il dispose d’un vaste réseau de partenaires dans le domaine de la finance, avec qui il est possible d’échanger dans un écosystème qui nous ressemble, avec des partenaires qui innovent comme URIOS. 

Loi Sapin II : Les nouvelles recommandations de l’AFA

Loi Sapin II : Les nouvelles recommandations de l’AFA

Loi Sapin II : Les nouvelles recommandations de l’AFA

Interview expert

L’Agence Française Anticorruption (AFA), organisme de contrôle d’application des obligations de la loi Sapin 2, a actualisé ses recommandations dans le cadre de la mise en œuvre du dispositif anticorruption pour les entreprises concernées (article 17 de la loi Sapin 2). Elle a publié un nouveau jeu de consignes au Journal Officiel de la République Française le 12 janvier 2021, auquel elle se réfère depuis le 13 juillet 2021 dans ses missions de conseils et de contrôles.

Ces nouvelles recommandations annulent et remplacent celles publiées en 2017 et ont été restructurées en 3 piliers (contre 8 auparavant). Ces modifications permettent une définition plus claire de la loi, facilitant son application.

Nouzha Ziani, décrypte ces nouvelles recommandations et donne des conseils concernant l’une des parties les plus complexe à mettre en oeuvre : l’évaluation des tiers.

Nouzha ZIANI
Directrice des Risques Export & Intelligence Stratégique

Quel sont les 3 nouveaux piliers de l’AFA ?

Rappelons en premier lieu, que les 8 mesures sont toujours présentes, elles sont simplement structurées différemment et ramenées au nombre de 3 afin de faciliter la compréhension des personnes qui ont la charge du déploiement opérationnel.

Les trois nouveaux piliers de l’AFA sont dorénavant :

1. L’engagement de l’instance dirigeante

L’AFA revient sur la définition de l’instance dirigeante au sens « large » et rappelle surtout son devoir d’implication, sa responsabilité et les moyens à mettre en place. Ce pilier préconise que les membres du conseil d’administration ou autres organes de contrôle doivent assurer leur rôle de surveillance des dispositifs mis en place tout en s’assurant de leur pertinence.

2. La cartographie des risques

C’est le point de départ du dispositif anticorruption. C’est sur ce pilier que repose l’ensemble des mesures des risques d’atteinte à la probité de chaque entreprise. Pour piloter les risques, il faut avoir une fine connaissance des menaces auxquelles est exposée l’entreprise et en identifier les points de vulnérabilité. L’entreprise doit alors élaborer une cartographie des risques et s’interroger notamment sur sa propre organisation. Quels sont les risques spécifiques liés à mon organisation ?

3. La gestion des risques

Ce troisième pilier de gestion des risques est la pièce maitresse du dispositif. Il est lui-même décomposé en trois blocs comme vous pouvez le voir sur le schéma de l’AFA ci-dessous.

  • La prévention: qui consiste à mettre en place des codes de conduite, des formations de sensibilisation interne et externe et la mesure la plus complexe, un système d’évaluation de l’intégrité des tiers.
  • La détection: qui consiste à mettre en place des dispositifs d’alerte interne qui se déclinent en contrôles comptables et contrôles internes de niveau 1 à 3.
  • La remédiation: si l’entreprise détecte des dysfonctionnements, elle doit instaurer des mesures correctives, en contrôlant et mesurant l’efficacité des mesures du dispositif interne mis en place et dans certains cas en appliquant le régime disciplinaire.

A noter : Les recommandations de l’AFA sont toutes structurées dans un document qui définit le nouveau référentiel anticorruption français.

Schéma AFA - Loi Sapin 2

Source : schéma de l’Agence Française Anticorruption

La complexité du système d’évaluation de l’intégrité des tiers

L’évaluation des tiers détaillée dans le troisième pilier de l’AFA est sans aucun doute le dispositif de la loi Sapin 2 le plus compliqué à mettre en oeuvre. Ce dispositif est étroitement lié à la cartographie des risques. L’évaluation des tiers doit évaluer de manière pertinente l’ensemble des parties prenantes de l’entreprise : clients, sous-traitants et fournisseurs de premier rang. Ces évaluations sont un vrai « casse-tête » en raison de la complexité à obtenir des données fiables et à jour. Les recherches sont alors longues et fastidieuses. Il faut pouvoir se plonger dans des listings volumineux et vérifier les informations une à une, pour chaque tiers, comme URIOS le fait pour ses clients. Ce processus peut-être long s’il est réalisé en interne, avec peu d’effectif et peut avoir pour conséquence l’allongement de la mise en relation avec un nouveau tiers. Il demande aussi une forte implication des directions financières, achats et commerciales, du personnel et une formation plus poussée des équipes opérationnelles sur le sujet.

A noter : les dossiers d’évaluation des tiers et leurs historiques de mises à jour régulières doivent être conservés pendant 5 ans après la cessation de la relation d’affaires.

Quelles questions se poser dans l’évaluation des tiers 

  • Quels tiers évaluer ?

Les tiers à évaluer découlent directement de la cartographie des risques et des points de vigilance qui en ressortent. Il est primordial de commencer par approfondir l’évaluation sur les partenaires les plus stratégiques et obligatoires : les clients, les fournisseurs  de premier rang et les intermédiaires. L’AFA recommande également d’approfondir l’évaluation en enquêtant sur les sous-traitants, les titulaires de marchés publics, les concessionnaires, les délégataires, les bénéficiaires de mécénats, sponsoring, les partenaires avec qui vous devez « joint-venture » et les cibles d’acquisition.

  • Quels systèmes de hiérarchisation des risques d’atteintes à la probité mettre en place ?

En face de chaque niveau de risque il faut préconiser un type d’évaluation différent, établir un premier set de critères d’évaluation simplifiée ou approfondie, en fonction du profil du tiers…

L’AFA conseille de ne pas forcément décliner des mesures anticorruptions en profondeur pour tous les tiers identifiés et adopter une évaluation simplifiée dans certains cas.  

  • Quels moyens utiliser pour compléter son appréciation du risque d’atteinte à la probité ?

L’entreprise peut mener différents niveaux d’investigations lui permettant d’évaluer la pertinence de poursuivre ou stopper la relation d’affaire : 

    • La recherche simple en vérifiant les sources ouvertes
    • L’enquête approfondie de type Due Diligence « simple » ou « augmentée »
    • L’envoi d’un questionnaire d’évaluation au tiers
    • Le recours à des prestataires d’information et de base de données pour compléter et sécuriser sa vision du risque
  • A quelle périodicité faut-il mettre à jour les contrôles ?

Une réévaluation périodique est nécessaire, une fois par an à minima ou tous les six mois en fonction du niveau de risque du tiers et/ou d’un évènement notable qui se produit dans l’entreprise : changement d’actionnaire, changement de bénéficiaire effectif …

  • Quels facteurs de risques doivent provoquer la vigilance ?

Il y a plusieurs facteurs devant vous alerter comme : un tiers qui vous a été recommandé, le niveau de dépendance économique de l’entreprise, un secteur d’activité sensible, une zone géographique à risque, la présence de personnes politiquement exposées…

Quelles solutions pour évaluer les tiers ?

Depuis la mise en place de la loi Sapin 2, de nombreux outils digitaux ont fait leur apparition sur le marché. Ces outils permettent de remonter des informations de premier niveau qui manquent parfois de « fraicheur ». Pour s’approprier correctement ces résultats et faire remonter des informations à jour et pertinentes, il faut mettre en place une intervention humaine pour évaluer et vérifier chaque spécificité d’un tiers, avant  l’injection de la donnée dans un outil de compliance.

La valeur ajoutée d’URIOS, c’est l’information qualifiée et en temps réel, appelée en interne la data live. C’est à ce jour un des moyens les plus fiables d’obtenir des informations financières et stratégiques. Notre analyse repose sur trois étapes. La première, la collecte d’informations disponibles via des bases de données, des sources légales, la presse et le web. La seconde, une investigation poussée de la part de nos experts via des interviews en live des partenaires à étudier pour mesurer les faits à travers différents prismes et nous permettre de confronter et vérifier en temps réel les éléments acquis lors de la première étape. Et enfin, un recoupement de l’ensemble des informations obtenues permettant à nos experts de remonter de nouveaux points de vigilances. En cas d’alerte positive, URIOS peut établir des rapports de due diligences approfondies sur des personnes morales ou physiques comme il est recommandé par l’AFA.

L’évaluation des tiers occupe toujours une place centrale dans le dispositif

Pour vous aider dans votre démarche de compliance, URIOS vous propose une solution pragmatique, véritable outil d’aide à la décision.

 Nos objectifs ?

  • identifier les risques liés à votre portefeuille de clients, fournisseurs, sous-traitants
  • lever les doutes
  • évaluer la pertinence de poursuivre ou stopper la relation d’affaire.

EN SAVOIR PLUS

Analyser la santé financière d’une entreprise

Analyser la santé financière d’une entreprise

Santé financière entreprise

Comment évaluer la santé financière d’une entreprise ?

L’analyse financière est la clé pour connaître la solvabilité d’une entreprise avec laquelle on souhaite établir un partenariat commercial. Un certain nombre d’indicateurs de pérennité doivent être pris en considération pour évaluer la santé financière d’une société.

Comment vérifier la santé financière d’une entreprise ?

Pour qu’une société accorde sa confiance à une autre entreprise en vue d’établir une relation commerciale saine entre client et fournisseur, le client potentiel doit montrer patte blanche et faire preuve d’autonomie financière. Mais bien souvent, les données économiques sont complexes à analyser, floues, voire camouflées en conformité avec la loi de confidentialité des comptes.

Difficile, dans ces conditions, de mener une analyse financière et d’estimer la rentabilité financière de son  partenaire, ce qui intensifie le risque d’impayé ou de retard de paiement si l’on prend une mauvaise décision. Parfois, un groupe dont l’apparente rentabilité financière en fait un partenaire a priori pérenne, se révèle peu rentable au long terme. Différents indicateurs de l’analyse financière doivent permettre de tirer des conclusions fiables de la santé financière et la solvabilité d’une entreprise, voici quelques exemples :

  • Le chiffre d’affaires : un facteur évident, puisque lorsqu’il croît, la santé financière de la société est manifestement bonne. Cela signifie en effet qu’elle parvient à gagner des marchés, mais peut aussi signaler une augmentation des charges et de l’endettement. Il ne peut donc pas s’agir du seul indicateur à prendre en compte.
  • Les bénéfices : lorsque le bénéfice est croissant, la société gagne de l’argent et profite donc de comptes sains. Si les bénéfices augmentent avec le chiffre d’affaires, cela signifie que l’entreprise génère des liquidités et fait des efforts pour réduire ses charges.
  • La rentabilité : elle diminue dans le cas où l’augmentation du chiffre d’affaires est plus rapide que l’augmentation des bénéfices.
  • La capacité d’autofinancement (CAF) : elle est la trésorerie potentielle dégagée par l’exploitation de l’entreprise prise au sens large. LA CAF permet de calculer la capacité de remboursement de l’endettement. Plus le délai est long, plus les liquidités sont insuffisantes.
  • Le rapport entre frais financiers et chiffre d’affaires : lorsque le rapport entre le poids du remboursement de la dette et le chiffre d’affaires est élevé, l’activité est trop impactée par la dette. Les organismes de prêt peuvent être plus frileux à fournir de nouvelles sources de financement.

En quoi consiste notre solution d’étude de solvabilité ?

L’analyse financière d’URIOS a pour objectif d’évaluer la fiabilité et la pérennité de vos partenaires commerciaux, qu’il s’agisse de vos fournisseurs ou de vos clients situés en France ou à l’étranger. Cette analyse financière vise à définir une limite de crédit ou une limite d’acompte, et vous permet d’anticiper le risque d’impayé ou de retard de paiement de vos clients.

Dans cette analyse financière, un certain nombre d’éléments sont mis à votre disposition afin d’évaluer la santé financière de l’entreprise : de son identité à sa situation financière, en passant par son actionnariat, les informations économiques ou les défauts de paiement.

Dans le cas particulier des fournisseurs, nous vérifions pour vous la taille et la localisation du marché, ainsi que leurs concurrents. Vous disposez également d’une visibilité sur leurs moyens de production et la qualité des produits, ainsi que leur niveau de conformité avec les réglementations en vigueur.

Notre force est d’aller plus loin que les simples algorithmes des bases de données et de vérifier, confronter les données afin de nous forger une opinion sur la solvabilité en temps réel. Pour cela, l’expert procède à un croisement de  sources variées validées au travers d’interviews des différentes parties prenantes : la société concernée, ses fournisseurs dans le cas d’une étude client, ou avec les clients dans le cas d’une étude fournisseur, ses partenaires financiers, les administrateurs judiciaires le cas échéant.

Une fois l’analyse financière livrée, il vous est possible d’échanger avec l’expert URIOS qui a réalisé l’étude.

Pourquoi choisir l’étude de solvabilité URIOS ?

A la différence des bases de données financières, URIOS a adapté ses études de solvabilité pour pallier le manque de visibilité. Grâce au croisement de sources multiples et d’interviews réalisées auprès de différentes parties prenantes de l‘entreprise étudiée, nos analystes vous délivrent une étude approfondie avec des informations en temps réel !

EN SAVOIR PLUS

Loi Sapin 2 : comment procéder à l’évaluation des tiers ?

Loi Sapin 2 : comment procéder à l’évaluation des tiers ?

Comment procéder à l’évaluation des tiers de la loi Sapin 2 ?

Témoignage client – 28/07/2021

Spécialiste dans le domaine de la santé et leader sur le marché du diagnostic in Vitro depuis plus de 75 ans, le Groupe Stago apporte aux professionnels de santé les systèmes nécessaires à l’établissement d’un diagnostic pertinent du patient.

Le Groupe exporte aujourd’hui plus de 90% de sa production. Les produits sont distribués dans plus 110 pays.

Nathalie Marlin, Credit Manager chez Stago Diagnostica depuis 7 ans, fait régulièrement appel à URIOS pour évaluer les tiers de l’entreprise dans le cadre de la loi Sapin 2.

Nathalie MARLIN

Credit Manager Groupe

Comment est organisée la compliance, notamment la mise en œuvre de l’évaluation des tiers au sein de votre groupe ?

« La mise en place du dispositif anti-corruption au sein du Groupe est de la responsabilité de notre Direction Juridique. Les anciennes mesures 4 et 5, respectivement la cartographie des risque et l’évaluation des tiers, aujourd’hui, représentées dans le 3ème pilier des nouvelles recommandations de l’Agence Française Anticorruption (AFA) sont confiées à notre Directrice Financière. Cette dernière s’appuie sur le Directeur Comptable pour le volet « procédures des contrôles comptables » que l’on retrouve dans la partie détection et sur le Crédit Management pour le volet « évaluation des tiers » que l’on retrouve dans la partie prévention.

Le dispositif compliance est actuellement en place, mais notre direction juridique travaille encore sur la cartographie des risques, qui ne cesse d’être améliorée. C’est le socle sur lequel doit s’appuyer l’ensemble des recommandations citées par la loi Sapin 2, et qui est un levier indispensable au pilotage des risques. Ce qu’il faut comprendre sur la cartographie des risques c’est qu’elle est, et, qu’elle doit être en amélioration continue d’autant plus suite à l’actualisation des recommandations de l’Agence Française Anticorruption.

Aujourd’hui, nous travaillons notamment sur le déploiement du dispositif anti-corruption au sein de nos filiales, ce qui n’est pas si simple car nous devons prendre en compte leur taille et leurs ressources internes. Il n’est bien sûr pas pertinent de faire un copier-coller du dispositif en place mais de l’adapter à chaque structure. »

Quelle était votre problématique de départ sur la mise en conformité à la loi Sapin 2 et plus particulièrement sur l’évaluation des tiers ?

« Concernant l’évaluation des tiers, nous avons créé un comité d’évaluation pour réaliser les analyses en collaboration avec le business et les achats et nous avons également impliqué l’instance dirigeante dans la validation finale pour les tiers les plus à risque. Pour traiter la volumétrie, nous avons d’abord établi une cartographie des tiers puis un calendrier d’évaluation en fonction du niveau de risque.

Cependant, nous nous sommes très vite rendu compte du temps que nécessitait l’évaluation des tiers : l’analyse, le suivi ainsi que la traçabilité. N’ayant pas de service compliance et exerçant cette mission en plus de notre fonction principale, nous avons très vite conclu qu’il était indispensable de trouver un moyen plus rapide et plus fiable pour effectuer les évaluations.

Au début, nous avons fait appel à un cabinet de conseil qui nous restituait un rapport qui s’est avéré être la synthèse de tous les documents que nous leur avions transmis. Bien que très bien conçus, les premiers due diligence ne nous permettaient pas de statuer sur le niveau de risque du tiers. Ce rapport ne correspondait donc pas à nos attentes. Nous avons alors pensé à acheter un outil compliance. Cette solution n’a pas été validée car nous n’avions pas de personne dédiée avec suffisamment de temps pour le gérer et surtout ayant les compétences suffisantes pour effectuer l’analyse des données.

Nous recherchions alors un prestataire capable de nous fournir un rapport d’évaluation des tiers « clé en main », clair et précis listant les alertes principales sur lesquelles devaient porter les vérifications, avec un score ou un code couleur nous permettant d’identifier rapidement les risques et nous aidant à prendre une décision sur le tiers évalué.

N’oublions pas que de nombreuses entreprises ne possèdent pas de Compliance Officer et la tâche d’analyse de premier niveau revient au niveau opérationnel, il faut donc des rapports qui peuvent être compris de tous. »

Pourquoi avoir choisi les rapports compliance d’URIOS ?

« Parmi les prestataires qui ont été sélectionnés et reçus, notre choix s’est vite orienté vers les rapports d’évaluation des tiers proposés par URIOS. Ils remplissaient l’ensemble des critères que nous recherchions. De plus, nous faisions déjà appel à URIOS pour vérifier la solvabilité de nos clients et fournisseurs.

Les rapports d’évaluation des tiers d’URIOS nous offrent à un niveau de vérification approfondi. Ils interviennent dans le contrôle d’intégrité de niveau 2 et 3, ce qui correspond au regard de la cartographie des risques aux tiers les plus à risque ou aux tiers pour lesquels un risque éthique fort est identifié.

De plus, le rapport proposé est très simple en termes de lecture, très visuel, synthétique, avec un avis d’expert et des recommandations extrêmement utile. Tout à fait ce que nous recherchions. Il permet de statuer rapidement sur le niveau de risque et de nous assurer de l’intégrité du tiers avec lequel nous entrons ou nous sommes déjà en relation d’affaires. Il était indispensable pour nous de trouver une solution nous permettant de prendre une décision afin de valider cette relation commerciale.

Par ailleurs, la flexibilité d’URIOS pour s’adapter précisément à notre demande, notamment sur l’intégration du risque pays a été un vrai plus. Au niveau international, le travail de vérification et d’évaluation de nos partenaires commerciaux est plus complexe. Nous sommes parfois confrontés à des difficultés d’indentification des UBO car certaines entreprises ont une politique d’opacité. Cependant, URIOS arrive à nous présenter un rapport comportant une synthèse, la liste des alertes avec un curseur en fonction du niveau de risque, la liste de vérification sur l’entité, les actionnaires, les dirigeants et les UBO, accompagné d’une analyse du risque et du niveau d’alerte : faible, modéré ou élevé sous forme de code couleur. Afin d’aller plus loin possible dans la vérification et l’évaluation du tiers, nous pouvons également demander à URIOS des études de type due-diligence approfondies. »