Pilotage financier : comment gagner en performance ?

Pilotage financier : comment gagner en performance ?

Pilotage financier : comment gagner en performance et en agilité ?

Interview – 31/07/2020

Implid  dans le cadre de son «Indicateur hebdomadaire», en partenariat avec l’Entreprise DU FUTUR, donne la parole à Adeline Lobey-Monteiro, Directrice Générale d’URIOS.

Baisse d’activité, allongement des délais de paiement, fragilité des partenaires commerciaux… A l’heure de la reprise, la gestion du poste client est un enjeu stratégique pour les dirigeants de PME et ETI.

Si 1 entreprise sur 2 envisage d’investir à court terme dans la sécurisation du poste client, la crise met également en évidence l’importance de faire évoluer son système de pilotage et de reporting financier pour orchestrer la relance d’activité.

Adeline LOBEY-MONTEIRO
Directrice Générale

Etude de solvabilité entreprise : sécuriser vos relations d’affaires et réduire le risque client

Le Business Report « Cash Focus » d’URIOS vous donne de la visibilité et permet de sécuriser vos futures ventes. Grâce à cette étude approfondie de la situation économique et financière de votre client, vous bénéficierez d’une évaluation fiable et en temps réel pour faire repartir votre croissance de façon sécurisée.

Vidéo : Le BFR des PME dans un contexte de relance

Vidéo : Le BFR des PME dans un contexte de relance

Le BFR des PME dans un contexte de relance

Vidéo – 26/06/2020

Didier MONTEIRO

Président

BSMART est la nouvelle chaîne d’information dédiée aux PM&ETI, créée par Stéphane SOUMIER.

BSMART s’associe à l’Entreprise DU FUTUR, dont nous sommes partenaire co-fondateur, et nous donne la parole !

Découvrez le 1er épisode de notre saga URIOS : LE BFR des PME dans un contexte de relance. 

Bénédicte Durand Deloche, Directrice Générale de MECELEC COMPOSITES et Didier Monteiro, ont partagé leurs réflexions et actions dans l’orchestration du cash et du BFR.

URIOS participe au tout premier salon virtuel Askeet

URIOS participe au tout premier salon virtuel Askeet

URIOS participe au tout premier salon virtuel Askeet

Événement – 01/07/2020

En tant que partenaire d’Askeet, URIOS participe au tout premier salon virtuel de la plateforme, le Jeudi 16 Juillet, 16h – 19h.

3 heures pour bousculer vos idées en matière de Facturation, Paiement et Recouvrement

Concrètement, en quoi consiste le salon virtuel Askeet ?

Le format de ce salon se veut très court, d’une durée de 3h (de 16h à 19h), et sur une thématique très précise : « Facturation, Paiement et Recouvrement ».

Il sera possible d’approcher les exposants de plusieurs manières :

  • 1 ConfRoom, où seront présentées des conférences d’experts
  • 3 PitchRooms, dans lesquelles se relayeront les exposants afin de présenter leurs services et effectuer des démos
  • 30 PrestaRooms, afin d’échanger en visioconférence privée avec les prestataires

Qu’est-ce qu’un salon virtuel ?

Les salons virtuels Askeet permettent de découvrir les solutions les plus innovantes du marché, sans bouger de son bureau.

En effet, les participants pourront assister à des conférences d’experts qui livreront leurs bonnes pratiques ainsi que leurs retours d’expériences, mais aussi écouter les entreprises phares dans leur secteur présenter leurs solutions les plus innovantes. Il sera possible de rencontrer les prestataires en face à face, virtuel bien évidemment, pour leur poser des questions.

Où sera-t-il possible de rencontrer URIOS ?

URIOS sera présent sur la PitchRoom n°2, de 16h30 à 16h50. Nos experts vous présenteront en quelques minutes nos solutions pour sécuriser et accélérer les paiements des factures, avant de procéder à une présentation de notre logiciel de recouvrement et de credit management Cash & Credit.

Il sera aussi possible de rencontrer nos intervenants sur toute la durée du salon, de 16h à 19h, dans la PrestaRoom URIOS. L’échange en PrestaRoom pourra durer 15 minutes : vous pouvez « booker » dès maintenant votre rendez-vous en demandant votre pass.

Choisir un logiciel de recouvrement et de credit management

Découvrez le guide des 10 points clés auxquels doit répondre votre logiciel de recouvrement de créances et de credit management.

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Compliance et anticorruption : où en sont les entreprises ?

Compliance et anticorruption : où en sont les entreprises ?

Compliance et anticorruption loi Sapin 2,
où en sont les entreprises ?

Article

L’AFJE et Ethicorp.com ont présenté la deuxième édition (2019-2020) de leur étude sur l’état des lieux en matière de compliance et d’anti-corruption dans les entreprises. Plus de 7 500 juristes en France ont été consultés, représentant plus de 1 500 entreprises, appartenant majoritairement à un groupe et exerçant leurs activités à l’étranger, dans le secteur de l’industrie et des services. Elles entrent en majorité dans les seuils de l’article 17 de la loi Sapin 2 du 9 décembre 2016 (plus de 100 M€ de chiffre d’affaires).

Mise en conformité à la Loi Sapin 2 : il y a des progrès !

La première édition de l’étude (2017) avait montré que les dispositifs étaient assez mal connus. Après trois ans d’application de la loi Sapin 2, une progression a été constatée : plus de 85 % des entreprises interrogées sont dotées de dispositifs de compliance.

Mais la démarche n’est pas achevée : près de 60 % d’entre elles ne sont que partiellement à jour de leurs obligations. Dans la grande majorité, le processus est encore en cours : les processus comptables ont été révisés (50,81 %), les efforts doivent être concentrés sur les processus commerciaux (39,2 %) et ceux des ressources humaines (31,75 %). La mise en conformité prend du temps, dans un contexte de manque de moyens financiers dédiés et faute de ressources humaines suffisantes, déjà fortement mobilisées par la mise en œuvre du RGPD.

Globalement, toutes ont bien pris conscience des objectifs et avantages de la compliance loi Sapin 2 (prévention des risques, évitement des poursuites et renforcement de l’image de l’entreprise). Le dispositif d’alerte est conçu comme un outil d’intelligence économique : chaque litige prévenu et évité représente une économie en moyenne de 285 000 euros (chiffre stable par rapport à la précédente édition).

Les juristes de l’entreprise au cœur de l’action

L’enquête montre que dans 67 % des cas, c’est la direction juridique de l’entreprise qui est chargée de la compliance loi Sapin 2. Dans près de 4 cas sur 5, la responsabilité de la réception et du traitement des alertes pouvant être levées au sein de l’entreprise repose sur une seule personne (directeur compliance, responsable éthique), plutôt que sur un collectif (comité d’éthique). Lorsqu’ils sont constitués, les comités d’éthique comportent un nombre assez élevé de membres (8 en moyenne, jusqu’à 20 au plus).

Les questions de potentiels conflits d’intérêts et de confidentialité amènent à celle de l’externalisation du dispositif d’alerte. Néanmoins, en pratique, simplicité, coût et souhait d’éviter la diffusion d’informations justifient le choix de l’internalisation. Choix qui est fait par 2 entreprises sur 3. Lorsque la mise en œuvre du dispositif est confiée à un tiers, elle n’est le plus souvent que partielle. Elle concerne le dépôt de l’alerte et son accusé de réception, rarement les échanges avec le lanceur d’alerte et très exceptionnellement l’analyse de la situation ou la formulation des recommandations d’action.

Quant à l’ouverture des outils aux collaborateurs externes et occasionnels (art. 8 de la loi Sapin 2), les entreprises ont, dans l’ensemble, choisi un large accès, en faveur de leurs fournisseurs et clients, voire aux partenaires, candidats aux appels d’offres ou bien encore des ONG.

Quelles marges d’amélioration ?

Pour mémoire, l’article 17 de la loi Sapin 2 prévoit la mise en œuvre d’un dispositif complet et cohérent de compliance. Et, en pratique, deux points d’achoppement peuvent être observés.

En premier lieu, un manque de confiance global dans le dispositif d’alerte : peur des rétorsions et absence de compréhension du bénéfice retiré à titre personnel pour les lanceurs d’alerte sont constatés. Pourtant, il semble que les alertes soient majoritairement suivies d’effets : enquête interne dans plus de 50 % des cas, sanction disciplinaire (28,04 %), licenciement (23,36 %), action de sensibilisation (20,75 %) et révision des processus (15,09 %). Le peu d’accessibilité du dispositif, malgré les formations et les communications reste également un frein.

En second lieu se pose la question de l’élaboration des codes de conduite anti-corruption. Les codes et chartes éthiques doivent en principe être établis ou révisés en fonction des cartographies des risques d’exposition de la société aux sollicitations externes. Cette cartographie, différente selon les secteurs d’activité et les zones géographiques dans lesquelles la société exerce, se construit selon une méthodologie précise préconisée par l’AFA. Cette démarche est en cours : 53,29 % des entreprises ont une cartographie générale des risques, mais seulement 35,5 % disposent d’une cartographie spécifique anticorruption, comme l’exige pourtant la loi Sapin 2. Outre ces retards, l’enquête fait ressortir que pour plus de 70 % des juristes interrogés, aucune adaptation n’est nécessaire.

Les évolutions sont en marche, les consciences sont en éveil. Mais le travail de déclinaison du dispositif de l’entreprise reste à parachever pour faire de l’éthique professionnelle, un outil de meilleure gestion, d’économies et de compétitivité.

Aude Dorange
Journaliste et Responsable Editorial
Le Journal du Management Juridique (Legiteam)

Mettre en place la mesure d’évaluation des tiers de la loi Sapin 2

URIOS vous accompagne à mettre en place cette mesure sur 3 niveaux, à commencer par un « Compliance check« , la vérification d’un tiers. Seconde étape, le « Mapping Compliance » consiste à identifier des risques et alertes sur un portefeuille de clients ou fournisseurs. Enfin, la « Due-diligence » est une analyse approfondie permettant d’accélérer la prise de décision.

Logiciel, le meilleur allié pour accélérer le cash ?

Logiciel, le meilleur allié pour accélérer le cash ?

Logiciel de recouvrement et de credit management, le meilleur allié pour accélérer le cash ?

Événement – 29/06/2020

Webinar, le mardi 21 Juillet à 11h00

ANIMÉ PAR :

Olivier Blandin, Directeur Général Adjoint, en charge du pôle Software,
Françoise Boyer, Directrice Marketing et Digital.

Avec la crise sanitaire liée au COVID-19, la trésorerie des entreprises est sous tension. Les dirigeants doivent plus que jamais obtenir le règlement de leurs clients, réactualiser les informations liées à la santé financière de leurs clients, et maîtriser le risque tout en relançant l’activité.

Pour cela, les entreprises doivent pouvoir mettre en œuvre une stratégie de recouvrement optimale afin d’accélérer l’encaissement des anciennes factures et réduire les délais de paiement des factures à venir. Elles doivent également ré-arbitrer leurs risques sur une part importante de leur portefeuille, or, cela n’est possible qu’avec des données fiables et précises.

Nous vous invitons au prochain webinar d’URIOS, le mardi 21 Juillet à 11h00, pour découvrir dans ce contexte notre logiciel Cash & Credit. Sa mission : vous permettre d’accélérer l’entrée de cash et maîtriser le risque client.

Au programme, des réponses opérationnelles aux questions :

  • Comment modéliser des plans d’actions adaptés à la typologie et à la situation réelle de ses clients ?
  • Comment distinguer la gestion des créances période COVID et postérieure ?
  • Comment baser la gestion du risque sur des données clients fiables et actualisées ?
  • Comment piloter ses équipes à distance en facilitant leur synergie ?

Webinar animé par :

Olivier BLANDIN
Directeur Général Adjoint, en charge du pôle Software

Françoise BOYER
Directrice Marketing
et Digital

Choisir un logiciel de recouvrement et de credit management

Découvrez le guide des 10 points clés auxquels doit répondre votre logiciel de recouvrement de créances et de credit management.

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